Carte grise : Ces 8 régions où les tarifs explosent en 2025, préparez-vous à des hausses records

En 2025, le coût de la carte grise s’envole dans plusieurs régions. Découvrez où immatriculer votre véhicule devient un véritable luxe.

Montrer le sommaire Cacher le sommaire

Le coût de la carte grise va connaître une flambée inédite en 2025. Alors que certaines régions maintiennent leurs tarifs stables, d’autres battent des records avec des augmentations spectaculaires. Ces disparités posent des défis importants pour les automobilistes et les collectivités locales. Dans certains territoires, immatriculer un véhicule devient un casse-tête budgétaire.

Forçant ainsi à repenser son choix de résidence. Quels sont les départements où la note risque de s’alourdir ? Une chose est sûre, les automobilistes devront faire face à des changements qui ne passeront pas inaperçus.

Pourquoi le coût de la carte grise augmente en 2025

La carte grise est un document important pour tous les automobilistes. Mais en 2025, son coût va beaucoup augmenter dans certaines régions. Pourquoi ? Tout d’abord, il faut savoir que le prix de la carte grise dépend des régions, car ce sont elles qui fixent la taxe appelée « cheval fiscal ».

Cet argent est utilisé pour financer des écoles, des transports et d’autres services publics. Cependant, les régions gagnent de moins en moins d’argent avec cette taxe. Pourquoi ? Parce que de plus en plus de gens achètent des voitures électriques. Ces voitures, bonnes pour l’environnement, sont souvent exonérées de cette taxe.

À lire Carte grise : mauvaise nouvelle, les automobilistes vont payer encore plus cher cette année

En même temps, les ventes de voitures classiques, comme celles à essence ou diesel, baissent. Cela réduit les recettes des régions, qui doivent trouver d’autres moyens de faire rentrer de l’argent. Résultat : elles augmentent les prix pour les automobilistes qui achètent encore des voitures thermiques.

Les régions où les tarifs explosent le plus

Certaines régions voient leurs tarifs grimper de façon impressionnante. En Normandie, le prix par cheval fiscal a bondi de 35 à 60 euros en deux ans, soit une augmentation de 71 %. C’est énorme. Cela signifie qu’une voiture de 7 chevaux fiscaux coûte maintenant 420 euros, contre 253 euros dans les Hauts-de-France, où les prix restent plus bas.

Mais la Normandie n’est pas la seule région concernée. En Corse, le prix a augmenté de 59 %, passant de 27 à 43 euros par cheval fiscal. D’autres régions comme la Bretagne, le Grand Est, ou encore la Provence-Alpes-Côte d’Azur connaissent aussi des hausses importantes.

Ces augmentations creusent les écarts entre les régions. Par exemple, alors que la Martinique reste stable à 30 euros, certaines régions dépassent largement les 50 euros. Cela montre que le coût de la carte grise peut varier énormément selon l’endroit où l’on vit.

Comment ces hausses impactent les automobilistes

Ces augmentations font mal au porte-monnaie des familles. Immatriculer une voiture coûte de plus en plus cher, et cela s’ajoute aux autres dépenses liées à la voiture, comme l’assurance ou l’essence.

À lire Automobile : une nouvelle mesure sur la carte grise en 2025, vous permettra de faire de belles économies

Certaines personnes, surtout celles qui ont de petits revenus, peuvent avoir du mal à payer ces nouveaux tarifs. Face à ces hausses, certains cherchent des solutions.

Par exemple, vous pouvez acheter une voiture électrique pour profiter de l’exonération de taxe qui s’applique souvent à ces véhicules. Vous pouvez aussi immatriculer votre voiture dans une région où les tarifs sont plus bas, mais cette solution reste parfois compliquée ou peu pratique.

Transition écologique ou pression fiscale ?

Pourquoi les régions augmentent-elles autant les prix ? En grande partie à cause de la transition écologique. Elles veulent encourager les gens à acheter des voitures électriques, moins polluantes.

Mais en même temps, elles ont besoin d’argent pour financer leurs projets et services publics. Certaines régions demandent plus de souplesse pour ajuster les règles.

Par exemple, elles voudraient pouvoir décider elles-mêmes si les voitures électriques doivent rester exonérées ou non. Cela permettrait de trouver un meilleur équilibre entre la protection de l’environnement et le financement des services publics.


Publiez cet article sur vos réseaux sociaux !