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Depuis des années, les magasins Cora peinaient à suivre le rythme. Aujourd’hui, le couperet tombe. Et pas qu’un peu. Des fermetures en série, des milliers d’emplois menacés et une transformation express orchestrée par Carrefour. Tout s’accélère. Mais que s’est-il passé ? Pourquoi une enseigne aussi connue en arrive-t-elle là ?
En France comme en Belgique, les nouvelles tombent comme un coup de massue. Et derrière ces décisions, il y a des histoires, des vies, un modèle de consommation qui touche à sa fin. Vous allez tout comprendre sur la fin de Cora.
La chute brutale d’une enseigne connue de tous
Pendant longtemps, Cora était un nom bien connu. Des grands magasins où on trouvait tout : nourriture, vêtements, jouets, électroménager… Des familles entières y allaient faire leurs courses chaque semaine. Mais aujourd’hui, l’histoire change.
Cora ferme plusieurs magasins. En Belgique, sept hypermarchés vont s’arrêter. Cela veut dire que presque 1 800 personnes vont perdre leur travail. En France aussi, certains magasins doivent changer de main ou fermer.
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C’est une grosse nouvelle pour les clients, mais aussi pour tous les salariés qui y travaillent depuis longtemps. Beaucoup ne s’attendaient pas à une fin si proche. Cette annonce marque la fin d’une époque. Une enseigne connue de tous qui disparaît petit à petit, c’est toujours un choc.
Pourquoi Cora n’a pas su résister
Depuis des années, Cora perdait de l’argent. La cause ? Plusieurs raisons. D’abord, les gens ont moins d’argent pour faire leurs courses. Ensuite, de plus en plus de personnes achètent en ligne, sans aller en magasin.
Et puis, il y a des concurrents étrangers qui vendent à des prix très bas. Cora a essayé de changer. Ils ont rénové des magasins, réduit la taille des rayons, et investi dans le numérique. Mais ces efforts n’ont pas suffi. Les clients sont partis ailleurs.
Et aucune autre grande entreprise n’a voulu reprendre les magasins Cora en Belgique. Le modèle des très grands magasins ne marche plus comme avant. Les gens veulent des courses rapides, simples, pas trop loin de chez eux. Cora n’a pas réussi à suivre cette nouvelle tendance.
Carrefour change la donne en France
En France, Cora ne disparaît pas complètement. Mais les magasins vont changer de nom. Carrefour a racheté 60 magasins Cora. Cela veut dire que, petit à petit, ces magasins deviennent des Carrefour.
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Déjà, en quelques mois, tout a été transformé : les panneaux, les rayons, l’organisation. Mais tout cela a un prix. Carrefour doit aussi revendre certains magasins, car il y en aurait trop dans une même région.
Cela concerne plusieurs villes comme Villers-Semeuse ou Les Pavillons-sous-Bois. Les salariés sont inquiets. Ils ne savent pas encore qui va les reprendre ni dans quelles conditions. Le changement est rapide, mais pas toujours facile à vivre pour ceux qui y travaillent tous les jours.
Que va-t-il se passer maintenant ?
Pour les magasins belges, ils resteront ouverts encore un peu, jusqu’à la fin de l’année. Peut-être qu’un repreneur se présentera. Mais c’est peu probable. En attendant, les employés viennent travailler sans savoir ce que demain leur réserve. Certains sont tristes, d’autres en colère.
Ce n’est pas seulement un magasin qui ferme. Ce sont des années de travail, des liens créés, des habitudes qui s’effacent. En France, la suite dépendra de Carrefour et des nouveaux repreneurs. Mais une chose est sûre : le visage de nos supermarchés est en train de changer pour de bon.
