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Un magasin Noz a dû fermer ses portes après seulement six mois d’ouverture. Pourtant, tout semblait bien parti : une nouvelle gestion, une équipe motivée et un magasin remis sur pied. Mais une réalité bien plus sombre a tout fait basculer. Vols, agressions, incivilités… Le quotidien des employés est devenu un enfer. Face à cette situation hors de contrôle, le gérant a pris une décision radicale.
Un magasin Noz victime de violences extrêmes
Le magasin Noz de Cébazat, près de Clermont-Ferrand, avait tout pour réussir. Après son ouverture, son gérant et son équipe ont travaillé dur pour attirer des clients. Mais très vite, l’ambiance a changé. Dès les premiers jours, des vols ont eu lieu. Puis, les choses ont empiré.
Certains clients devenaient agressifs. Ils insultaient les employés, les menaçaient et allaient parfois jusqu’à les frapper. Le gérant pensait pouvoir contrôler la situation. Il espérait que les voleurs finiraient par partir.
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Mais au contraire, les agressions ont continué. Une caissière a été poussée à terre. Une autre a reçu des crachats. Même l’adjointe du magasin a été menacée au couteau avant l’arrivée du gérant. À force de vivre dans la peur, l’équipe a commencé à se poser des questions. Fallait-il vraiment continuer à travailler dans ces conditions ?
« Il y a eu un vol de trop » : le point de rupture
Au bout de six mois, la situation est devenue ingérable. Le gérant avait prévu de rester et de prendre la direction du magasin. Mais un événement a tout changé. Un vol de trop, une menace de trop, une agression de plus… Il a compris que rien ne s’améliorerait.
À ce moment-là, il a pris une décision radicale. Il a annoncé qu’il ne resterait pas. Ce jour-là, tout s’est écroulé. Vendredi 28 février, il a quitté son poste pour de bon. Il aimait ce qu’il faisait, mais il ne pouvait plus supporter cette violence quotidienne.
Son seul regret ? Que rien n’ait été fait pour protéger les employés. Il avait prévenu la direction que la situation était dangereuse. Mais malgré ses alertes, aucune solution n’a été trouvée.
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Un avenir incertain pour Noz et ses employés
Le départ du gérant a provoqué une onde de choc. Très vite, d’autres employés ont décidé de partir. Sur cinq salariés, trois ont donné leur démission. Ceux qui restaient avaient peur. Travailler chez Noz était devenu un cauchemar.
Aujourd’hui, ce magasin est dans une situation critique. Sans gérant et avec une équipe réduite, il est difficile de continuer. Certains pensent que la fermeture est inévitable. Pourtant, Noz n’a pas encore annoncé de décision officielle. Mais une chose est sûre : tant que ces problèmes de violence continueront, l’avenir de cette enseigne restera incertain.